Jean nous a appelés pour vendre ses vins. La décision ne fut pas simple, mais il n’en pouvait plus d’entendre cette petite phrase qui l’agace tellement : « il est vraiment pas mal ton p’tit vin ».
Vendre ses vins parce qu’ils n’y comprennent rien
Il fallait agir vite, avant Noël. Avec les invités de cette année, le risque était grand de s’étrangler en entendant des commentaires du type « celui-là, il coûte au moins 50 euros ». Un Petrus 1988, tu m’étonnes !
Jean l’aime plutôt bien son gendre, mais il se passerait des comparaisons douteuses de ce-dernier qui pense sûrement lui faire plaisir en indiquant avoir trouvé, l’autre jour, un bon petit rouge à 5 euros dans la supérette en bas de chez lui, « pas aussi bon, mais pas mal non plus ».
Ce n’est pas vraiment l’argent qui motive Jean. Il est aujourd’hui à la retraite, et a derrière lui une brillante carrière. Par passion des grands vins, il accumulé les plus beaux flacons. Outre le mythe de Pomerol, les étagères de sa cave sont remplies des plus grands crus du vignoble français : les grands crus du Domaine de la Romanée Conti côtoient les légendes bordelaises et les grandes cuvées du Rhône et de la Loire.
Les prix des grands crus à maturité sont devenus fous
Quand il ouvre une belle bouteille, il cherche avant tout à faire plaisir à ses invités. Mais, à regret, il est obligé de constater qu’un vin moins exceptionnel aurait le même effet. Et à l’époque à laquelle il a acheté ses grands crus, les prix n’étaient pas aussi fous qu’aujourd’hui. Alors, il nous a contactés.
Au moment de nous quitter, il ne peut s’empêcher de nous lancer, avec un sourire malicieux : « j’en ai quand même gardé quelques bouteilles, on ne sait jamais ».
Si comme Jean, vous pensez à vendre vos vins, contactez-nous.
Nous vous transmettrons des offres fermes de rachat de vos grands crus loyales et discrètes, en moins de 48 h.
Auteur : Aurélien Grevet
Image © ArtFamily fotolia.com
